Revue de presse du 06/07/2012

AuteurPar la rédaction
Mis en ligne Juillet 2012
Dossier Juillet 2012

C’est fou ce que les gens sont prêt à faire pour qu’on les remarque : la royauté est gangrénée par la jalousie tandis la planète people cherche du réconfort auprès de ses admirateurs.

La plupart des tendances sont lancées par les stars et en matière de transformation capillaire, les extravagances se bousculent entre la coloration multicolore, la boule à zéro et les permanentes pour rendre hommage à la célèbre pin-up.

Dans le classement imaginaire des stars malmenant leurs cheveux, on cite Katy Perry qui jongle entre les colorations capillaires les plus fantaisistes pour éblouir le public. En dépit de son surnom sapin de noël ou pop-corn, la chanteuse défend sa coupe en affirmant que ces colorations demeurent un moyen d’expression. Pour toutes celles qui souhaitent connaître les astuces de la chanteuse pour entretenir une telle chevelure, cliquez ici !

Au lieu de teindre ses cheveux pour exprimer sa joie, Katie Holmes se confie au New York Daily News et n’hésite pas à confirmer ce que tout le monde sait déjà : son divorce avec Tom Cruise la rend très heureuse ! Cette séparation apparaît comme un acte libérateur pour l’actrice dont l’aura et le talent ont dû être étouffés par l’emprise de Tom et celle de la Scientologie.

Si Katie s’en sort plutôt haut la main, ce n’est pas le cas de Kate Middleton qui vit une relation en dent de scie avec la reine Elisabeth II. La raison : la Reine serait jalouse de la Duchesse de Cambridge qu’elle humilie constamment. La dernière trouvaille royale a été d’ailleurs de revoir le protocole pour rappeler que les personnes non nées de sang royal doivent faire révérence aux membres souverains. N’est-ce-pas mesquin tout ceci chère Reine ?

Intéressons-nous à Charlène Wittstock qui vaque à ses obligations de princesse : l’épouse du prince Albert, vêtue de bleu et de noir, a assisté à l’inauguration de la nouvelle boutique Louis Vuitton sise à la Place Vendôme. L’ex-nageuse eut également son lot de péripéties avant d’être acceptée par la Principauté de Monaco.