Venus Williams ressuscite sa marque de vêtements EleVen
EleVen, la marque de prêt-à-porter de Venus Williams, a refait son apparitionHave a Good World habille les ados en bio
Les époux Cornuaud lancent Have A Good World, une griffe écolo destinée aux « juniors garçons »Les foulards Kidults&co Printemps-Été 2012
Kidults&Co présente sa première collection Printemps-Été 2012 de foulardsRecord mode C&A : 32 millions de pièces en coton organique
C&A a confirmé une vente de pièces en coton organique annuelle de plus de 32 millions d’unitésCollection gainante Damart Perfect Fit été 2012
Damart lance une collection de vêtements gainants capables de s’adapter à toutes les morphologiesÉlargir le tee-shirt pour lui donner un coup de neuf
Élargir un tee-shirtLe projet Better Cotton de la WWF et Marks & Spencer continue !
Marks & Spencer et la WWF ensemble pour un monde meilleur !Les pouvoirs absorbants du coton
Coton absorbantLes pouvoirs isolants du coton
Un excellent isolateur de chaleurL’entretien du coton
Gestes d’entretienLe coton mélangé ou modifié
Coton mélangéLa mode du coton bio
Le coton bioH&M premier utilisateur de coton biologique dans le monde
Textile Exchange vient de classer la marque H&M en tête de liste des utilisateurs de coton biologiqueLe coton est une fibre végétale qui enclot les graines des cotonniers. La cueillette du coton est mécanisée, néanmoins, dans les pays en développement, elle se fait encore à la main.
La fibre de coton, encore collée à la graine, est traitée à l’usine d’égrenage. Elle est alors nettoyée par des machines qui séparent celle-ci de la graine et des autres impuretés. Par la suite, les graines sont compactées dans des balles, qui seront conditionnées et expédiées par bateau. En France, c’est surtout dans les régions telles que Dunkerque, Bordeaux, Le Havre, Rouen, Marseille et dans les régions Nord et Est que se base l’industrie du coton.
Après traitement, la fibre de coton est transformée en fils mats ou similis ou fils mercerisés. Ces fils sont ensuite utilisés pour les divers travaux artisanaux comme la confection de dentelle à l’aiguille et aux fuseaux, des crochets et broderies mais ils sont avant tout transformés en étoffes. Les tissus réalisés à partir du coton sont nombreux. Le basin, un tissu blanc damassé avec un effet côtelé, le chintz, une sorte de toile teinte ou imprimée brillant et glacé, la futaine, un tissu pelucheux, réalisé en mélangeant du coton avec du lin ou encore de la laine, l’indienne, la mousseline, qui est une toile transparente, la perse, le madras qui est obtenu en mélangeant le coton à la soie.
Par ailleurs, le coton est très utilisé dans la confection de vêtements de bébé de par sa douceur et pour son côté aseptisé. Le coton joue un rôle essentiel dans la fabrication des dentelles, des tulles, dans la passementerie : tresses, ganses, galons et autres franges. Le jersey de coton est transformé en vêtements et sous-vêtements.
Avec tous les progrès industriels et les inventions qu’ont apportés le XIXe siècle, le coton est devenu la première fibre textile du monde.
Les linters qui sont des fibres très courtes sont traités par des égreneuses spéciales pour la fabrication des papiers ou encore des textiles artificiels comme le mouchoir à jeter, sous forme de cellulose régénérée. Quand les fibres sont prélevées, les graines sont alors transformées en huile mais aussi en tourteau protéique. A noter que le tourteau renferme du gossypol ou du polyalcool cyclique toxique. Mais les glandless qui ne contiennent pas de gossypol toxique sont utilisées dans l’alimentation animale.
Le coton est cultivé depuis plus de trois mille ans en Chine et depuis plus de dix siècles avant Jésus-Christ, l’Inde produit, file et tisse le coton pour en faire divers tissus. La culture du coton est arrivée en Egypte via les marchands indiens et s’est étendue dans les régions Est du bassin méditerranéen. Les croisades sont à l’origine de l’utilisation du coton en Europe occidentale. L’exploration du Nouveau-Monde a permis de découvrir de nouvelles espèces de cotonniers, notamment utilisés par les Aztèques du Mexique et les Incas du Pérou pour la fabrication de leurs étoffes.
Au début du XVIIIe siècle, la Virginie commence à cultiver du coton puis les Antilles. Sa culture a rapidement atteint les régions chaudes de toutes les parties du monde.
Le tissage du coton commence en Europe dans le XIVe siècle et c’est dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle que les gens commencent à admettre que le tissage du coton comme un vrai métier. La fabrication et la distribution du coton sont à l’époque ralentie par les difficultés de l’égrenage qui est encore manuel. Le rendement journalier ne dépasse alors un livre de coton. En 1794, E. Whitney met au point l’égreneuse à scies et la mécanisation de la filature. Ces inventions donnent à l’industrie cotonnière mais aussi à la culture du coton un nouvel élan.
Le coton a beaucoup de qualités : un pouvoir absorbant élevé, ce qui lui confère confort, souplesse et élasticité, une bonne résistance mécanique, une insensibilité à l’électricité statique, un toucher agréable et une teinture facile. Son lavage et son détachage sont aisés. Néanmoins, il est très sensible aux moisissures. De plus, il se froisse facilement et rétrécit.
Bien que le lavage soit aisé, il faut cependant penser à bien séparer les vêtements selon leurs couleurs et leurs épaisseurs. Le coton supporte une température assez élevée mais le plus indiqué est de le passer à l’eau de température inférieure ou égale à 60°C. Il faut impérativement bien lire la notice d’entretien afin de connaître la température de lavage conseillée. Le velours côtelé, le denim foncé et la toile quant à eux doivent être passés à l’eau fraîche et il est conseillé de laver les tissus légers ou aux couleurs pâles à l’eau tiède.
La lessive liquide ou en poudre est la plus recommandée. Il faut bien respecter la dose prescrite et prendre de la liquide vaisselle pour les vêtements de couleur noire, afin qu’ils conservent leur teinte. Les vêtements blancs doivent être lavés avec un peu d’eau de javel. Les vêtements de couleurs vives doivent être retournés avant de les passer au lavage. Une petite goutte de vinaigre peut être aussi ajoutée à l’eau pour que les vêtements soient comme neufs. Les détachants sont aussi une bonne alternative tandis que les adoucissants abîment la matière et font perdre les couleurs.
Les taches sur un tissu en coton peuvent être facilement éliminées. La technique est assez simple, il suffit de laisser tremper le vêtement dans du détergent avant de le laver. Il est aussi conseillé de mettre de l’eau de Seltz ou encore un cube de glace sur la partie la tachée.
Avant d’étendre le linge, il faut défroisser chaque vêtement pour qu’il retrouve sa forme première et éviter de le mettre trop directement au soleil pour ne pas ternir les couleurs. On peut le sécher au sèche-linge mais juste le temps que les plis et autres humidités s’enlèvent. Il faut savoir qu’une exposition à trop de chaleur peut rendre ces plis permanents et rétrécir certains types de tissus en coton. Les vêtements blancs sont à laver à une température élevée et les vêtements colorés à une température moyenne.
Côté séchage, les vêtements en coton de couleurs doivent être séchés par culbutage. Par ailleurs, il faut les sortir très vite et les plier pour qu’ils ne se froissent pas.
Il faut savoir que les fibres de coton ne sont pas élastiques, donc les vêtements en coton peuvent facilement montrer des plis et doivent être souvent repassés avec un fer chaud.
L’entretien du coton fin est assez ardu, il faut toujours suivre point par point les conseils du fabricant. Les vêtements sont à laver à la main, délicatement avec un détergent doux du genre Ivory Neige. Il faut ensuite les sécher à plat ou encore sur une corde pour qu’ils ne s’étirent pas. Pour redonner de la douceur aux vêtements, un séchage à la machine est aussi une bonne option, dans la mesure où l’on n’envoie que de l’air. Les taches ordinaires s’enlèvent avec un détergent et les taches de vin, avec une pâte faite de sel et de vinaigre, les taches de lait ou de jaune d’œuf disparaissent avec une pâte détersive.
Il existe différents types de coton tel que le coton mélangé ou modifié. La plupart des vêtements sont crées à partir de mélange de coton avec des fibres synthétiques comme le polyester. Cette mélange rend le tissu de mauvaise qualité mais aussi néfaste pour l’environnement puisqu’il est réalisé avec plusieurs substances chimiques. Voilà qui rend les vêtements et tissus 100 % coton très intéressants.
Le coton bio privilégie les composants naturels mais préserve aussi l’environnement puisque sa culture se fait sans engrais, ni pesticides chimiques ni OGM. La culture du coton bio réduit aussi grandement la consommation d’eau. Par ailleurs, elle respecte totalement l’environnement, grâce à la giration des cultures pour oxygéner la terre et pour briser le cycle potentiel des maladies.
La fibre de coton doit être lavée avec de l’eau oxygénée et non du chlore. Les teintures ne contiennent ni substances cancérigènes ni métaux lourds.
Si les vêtements en coton bio ont été jugés trop ternes, ils sont maintenant considérés comme chic et branchés. Ils ont un bon graphisme et des couleurs qui allient écologie et esthétique. Le coton bio est nettement plus doux et plus souple que le coton ordinaire. Il remporte un grand succès car les grands créateurs de mode l’intègrent dans leurs collections.
Une robe en coton bio de C&A
La marque C&A propose cette robe longue en coton biologique. Une robe d’été légère aux motifs floraux dans un style romantique. La robe comporte des détails en dentelle avec un col croisé et sans manches. Elle est bordée de lignes en dentelle vers le bas.
À voir dans : Record mode C&A : 32 millions de pièces en coton organiqueLe site "We Love Bio" et C&A : ensemble pour le coton bio
C&A et "We Love Bio" s’associent pour sensibiliser le public sur l’utilisation du coton bio. La marque propose d’ailleurs le lien du site web pour permettre un accès direct aux informations sur les multiples intérêts d’opter pour des vêtements faits de matières biologiques.
Foulard Kidults&Co "Moustache bleue" collection Printemps-Été 2012
Plusieurs types de moustaches dessinés sur un foulard en voile de coton… et sur un fond bleu turquoise de surcroît ! Voilà toute l’originalité des nouvelles créations signées Kidults&Co pour sa première collection printemps-été 2012 de foulards. « Surréaliste », c’est le mot souvent employé pour qualifier ce modèle hors-du-commun. Il est disponible en boutique en taille adulte (185 × 60).
Prix : 51 euros.
Foulard Kidults&Co “Bird in the air” collection Printemps-Été 2012
Ce foulard multicolore en voile de coton fait partie de la première collection printemps-été 2012 lancée par la toute nouvelle marque de mode Kidults&Co. Cette marque, qui se veut être multi-cible, a choisi un nom plutôt évocateur pour ce modèle pour enfant : « Bird in the air ». Le motif s’inspire des croquis du célèbre dessinateur Charley Harper. Ce modèle mesure 150 cm de long sur 50 cm de large.
Prix : 38 euros.
Foulard “Funky-Town” Kidults&Co collection Printemps-Été 2012
“Funky Town”, c’est le nom choisi par la nouvelle marque Kidults&Co pour designer ce modèle de foulard aux motifs espiègles et funky ! Ce foulard en voile de coton figure parmi les modèles phares de la première collection Printemps-Été 2012 de la marque. En taille adulte, le modèle Funky Town mesure 185 cm de long sur 60 cm de large.
Prix : 51 euros.