Richard Gere dément avoir critiqué Pretty Woman !

AuteurPar la rédaction
Mis en ligne Mars 2012
Dossier Gaffes de stars
Richard Gere

L’acteur revient sur le fait d’avoir qualifié le film de comédie stupide

Hier encore, on a pris connaissance d’une surprenante entrevue accordée par l’acteur Richard Gere au magazine australien Woman’s day, dans laquelle il critique ouvertement le film Pretty Woman. En effet, l’acteur qualifie ce film culte qui lui a valu tout son succès de « comédie romantique stupide », évoquant le fait qu’il n’est reconnu qu’à travers ce long-métrage, même 20 ans après.

Richard Gere n’apprécie pas vraiment le fait que son succès professionnel ne soit associé qu’à cette seule comédie et donne presque l’impression de regretter de l’avoir tournée. Ces déclarations ont choqué les fans de la love story ainsi que toute l’équipe de tournage et a engendré la polémique sur la toile. Étonné de l’ampleur des réactions, Richard Gere revient sur ses propos et affirme même n’avoir jamais accordé d’interview à un magazine australien.

C’est son porte-parole qui a fait cette déclaration, ajoutant que c’est juste « un tas de conneries ». À la connaissance de ce démenti, Woman’s day n’a pas tardé à réagir dans un communiqué sur Access Hollywood. La rédaction maintient ainsi son article et soutient le journaliste qui a recueilli l’entrevue de Richard Gere au festival du film de Sundance.

Le journaliste Henry Mueller s’est entretenu avec le comédien avant la projection de son film Arbitrage et immédiatement après. Il faut croire que l’ancien partenaire de jeu de Julia Roberts n’a pas mesuré la portée de ses paroles et a voulu se dégager de sa responsabilité, mais cela n’a pas marché. Le magazine australien a rétorqué pour sauvegarder leur crédibilité, ce à quoi l’acteur ne s’attendait sans doute pas.

Richard Gere est actuellement en pleine promotion du film Arbitrage dans lequel il donne la réplique à Susan Sarandon et Tim Toth. Dans ce thriller dramatique, le comédien est dirigé par le réalisateur Nicholas Jarecki, également auteur de l’œuvre.